Sommaire
Iconographie
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Artillerie automobile
Le tracteur Châtillon-Panhard
à adhérence totale
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Commandant L. Ferrus
Librairie militaire Berger-Levrault
1914
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Le tracteur Châtillon-Panhard à adhérence totale,
avec 7 figures et 2 planches hors texte
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(p 2 et 3) - (p
4 et 5)
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Achevé d'imprimé en Juillet 1913
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Historique
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"Le problème du tournant correct."
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(p 6 et 7)
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Le problème de la traction sur route
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Le poids adhérent
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Voiture Dietz à 6 roues à
trains articulés (1838)
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Voitures qu'on convertit en charettes pour le roulage
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Voitures dont on fait un omnibus
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Tracteur Châtillon-Panhard
à quatre roues motrices et directrices
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Élévation
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Plan
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Coupe suivant abcd
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Schéma de la transmission du mouvement
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(p 8 et 9)
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Tracteurs à quatre roues motrices
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(p 10 et 11)
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Le colonel Deport, conseiller technique de la Compagnie des Forges de
Châtillon-Commentry, cherchait depuis longtemps à résoudre
le problème de l'artillerie automobile.
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Organisation du tracteur Châtillon-Panhard
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"La solution adoptée pour le tracteur Châtillon-Panhard a
consisté à construire un tracteur marchant l'amble,
si toutefois la comparaison ne paraît pas trop cavalière pour
s'appliquer au fonctionnement d'un engin mécanique. Au lieu d'accoupler
les roues d'un même essieu, en leur laissant la possibilité
de s'accorder par l'intermédiaire d'un différentiel, on accoupla
les roues latérales de façon à leur imprimer rigoureusement
le même mouvement et, dans ces conditions, on n'eut plus besoin que
d'un seul différentiel destiné à coordonner la marche
du couple droit et celle du couple gauche de roues motrices, et à
équilibrer leurs efforts entre eux.
On était amené, bien entendu, à rendre les quatre
roues directrices, seul moyen d'imprimer le même mouvement à
des roues placées en file."
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(p 12 et 13)
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"La voiture se trouvait donc être d'une symétrie parfaite
et il en résultait une remarquable facilité d'évoultion,
car la moitié arrière de la voiture suivant exactement la
même piste que la moitié avant, tout se passait comme si l'empattement
(distance des essieux) avait été réduit à la
moitié de sa valeur, c'est-à-dire comme si le châssis
avait présenté une longueur moité moindre. Il en résulte
que le tracteur Châtillon-Panhard peut faire demi-tour dans un cercle
de 4m50 de rayon."
"Ce fait
avait particulièrement frappé le commandant Krebs, l'habile
directeur des Anciens Établissement Panhard, qui s'était
demandé s'il ne serait pas opportun de construire des autobus de
ce système. Des autobus ainsi établis auraient, en effet,
présenté des avantages considérables, au point de
vue de la circulation, dans le réseau de rues si enchevêtré
et souvent si difficile à parcourir que présente la ville
de Paris."
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Moteur
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Frein au moteur
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(p 14 et 15)
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"... le frein moteur, système qui constitue de beaucoup le
meilleur de tous les freins, surtout dans les longues pentes de montagne,
et qui donne sans aucun inconvénient une sécurité
à peu près absolue."
"Nous avons vu ce frein monté sur l'une des trois auto-mitrailleuses
construites en mai 1911 par la société des anciens Établissements
Panhard, arrêter cette voiture chargée de 2.400 kg dans une
pente de 30 p. 100."
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Carburateur
"Le carburateur est un carburateur automatique du système bien
connu dû au commandant Krebs."
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Embrayage
"L'embrayage est un embrayage à disques métalliques multiples
contenu dans le volant du moteur. Il fonctionne dans l'huile et présente
une très grande progressivité, absolument nécessaire
du reste avec un tracteur puissant."
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Boîte de vitesses
"... La boîte est montée sur billes et ne possède
pas de prise directe qui ne présenterait aucun intérêt
sérieux pour un engin de ce genre."
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Transmission
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(p 16 et 17)
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Direction
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Freins, Frein au moteur
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Frein de mécanisme
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Frein de roues
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Roues, châssis, suspension
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(p 18 et 19)
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Châssis
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Suspension
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Treuil
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Attelage
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Rampes gravies par le tracteur, Vitesses
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Essais effectués par le tracteur
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Essais officieux en 1911
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(p 20)
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Essais à Vincennes en 1912
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Manoeuvres d'Anjou
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Fig. b : Le tracteur Châtillon-Panhard
en terrain varié
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(p 22)
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Concours de tracteurs du mois de mars 1913
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Programme du concours
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Fig. c : Tracteur remorquant le matériel
de 220mm
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(p 24)
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Vitesses réalisées
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Adhérence limite
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Rendement
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Fig d : Remorquage d'une pièce
de 220 en terrain sablonneux
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(p 26)
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"... le rendement mécanique total du tracteur à ce moment
s'élevait à environ 80 p. 100, ce qui est un chiffre tout
à fait exceptionnel, surtout pour une transmission relativement
compliquée."
"Ce résultat montre en passant que le tracteur, bien qu'usagé,
était resté en très bon état, que son usinage
était parfait, son montage très précis, et son graissage
très satisfaisant."
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Crochet d'attelage élastique
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Effort disponible au crochet
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Essais en terrains variés
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Fig e : Fonctionnement du tracteur
dans l'eau
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(p 28)
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"Il résulte de ce qui précède que le problème
du tracteur militaire puissant est actuellement résolu d'une façon
très satisfaisante et que les nouveaux engins sont en état
de rendre les meilleurs services non seulement pour les besoins de l'armée
(et en particulier de l'artillerie), mais encore pour ceux des entreprises
de gros transport. C'est ainsi que le tracteur Châtillon-Panhard
a exécuté avec succès, en 1912, d'importants transports
pour le compte de la sucrerie de Chauny."
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Fig f. : Le tracteur franchit un
obstacle
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(p 30)
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Fig. g : Pose de chaînes pour
augmenter l'adhérence en mauvais terrain
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(p 32 et 33)
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"Il résulte, en effet, des expériences faites, qu'on peut
aisément remorquer un train de 15 tonnes (21 à 22 tonnes
au total avec le tracteur) à la vitesse moyenne de 9 km en terrain
accidenté, de 11 à 12 km en terrain moyen, c'est-à-dire
à une vitesse au moins double de celle que permettent d'obtenir
les chevaux."
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Table des matières : (p 1/2)
- (p 2/2)
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Projet de règlement de manoeuvre
du tracteur automobile
Châtillon-Panhard
à quatre roues motrices et directrices
***
Compagnie des Forges de Châtillon-Commentry
et Neuves-Maisons
---
Société Anonyme des
Anciens Établissements Panhard et Levassor
---
Berger-Levrault Nancy
1914
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(p 0) - (p
1) - (p 2 et 3)
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Projet de règlement de manoeuvre du tracteur automobile Châtillon-Panhard
à quatre roues motrices et directrices - 1914
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Châssis
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Moteur
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(p 4 et 5)
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Graissage
"Il en résulte que, grâce à un système
de clapets à billes, on peut constituer une pompe à double
effet avec un seul piston qui agit par sa face inférieure et
par sa face supérieure."
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Carburateur
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Allumage
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(p 6 et 7)
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Embrayage
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Changement de vitesse et de marche
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Différentiel
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Essieux et transmission aux roues avant et arrière
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Roues et freins de roue
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Bielles de poussée
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Treuil
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Direction
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(p 8 et 9)
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Entretien et graissage
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Graissage journalier
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(p 10 et 11)
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(p 12 et 13)
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Graissage à faire tous les 1000 kilomètres
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Graissage à faire tous les 2000 kilomètres
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(p 14 et 15)
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Visites et précautions diverses
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Visite tous les 15.000 kilomètres
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(p 16 et 17) - (p
18 et 19) - (p 20 et 21)
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Montage et démontage par le chauffeur
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Montages et démontages d'atelier sous la direction du Chef mécanicien
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(p 22 et 23) - (p
24 et 25)
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Incidents de route et moyens d'y remédier
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Causes de mauvais fonctionnement du carburateur
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(p 26 et 27)
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Causes d'arrêt ou de mauvais fonctionnement de la magnéto
(tableau)
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(p 28 et 29)
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Causes de mauvais fonctionnement du moteur
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Causes de mauvais fonctionnement des freins
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(p 30 et 31)
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Causes de mauvais fonctionnement du refroidissement
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Causes de mauvais fonctionnement de la transmission
La pédagogie
selon Krebs :
"Il est très rare que l'on ait une avarie de la transmission.
Le mauvais fonctionnement de la transmission se manifeste en général
par l'élévation de la température des pièces,
ou par des bruits anormaux. [...]
Le bruit, souvent périodique, est produit par la rencontre
d'une pièce qui tourne et d'une pièce fixe.
Pour 10 tours de la roue, ces différents arbres font dans
l'ordre où ils sont énoncés ci-dessus : 31 tours,
39 tours et 52 tours.
Si donc on fait rouler le tracteur, et que pendant que la roue fait
10 tours, on entend 10, 31, 39 ou 52 bruits, la pièce qui les produit
sera la roue, l'axe vertical de pivotement, l'arbre horizontal de l'essieu
tournant ou l'arbre longitudinal de transmission.
Il est avantageux d'opérer à deux personnes.
Une d'elles compte 10 tours de roues, l'autre pendant le même
temps compte le nombre de bruits.
Une fois le bruit localisé, on opérera le démontage
conformément aux indications du chapitre « Démontages
»."
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(p 32 et 33)
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Manoeuvres en terrain varié, emploi des chaînes, des ceintures
de roues, du treuil et des appareils divers
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(p 34 et 35) - (p
36 et 37)
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T4L-KT : Schéma de Graissage
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T4L-KT : Schéma d'ensemble
du Mécanisme
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T4L-KT : Nomenclature des pièces
de l'ensemble du Mécanisme
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Autres références |

French Chatillon-Panhard
Tractor by Tim Rigsby |

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